Khan posa son regard glacial sur sa voisine. Il regardait son cou. Il avait soif, trop soif. Mais il se retint. Encore un instant. Le vendeur revint avec un bob, comme demander.
"Amenez moi un kimono noir aussi. Si vous avez."
Le vendeur partit encore, pour revenir quelques minutes plus tard, avec un kimono. Khan le prit et alla vers une cabine. Il hauta son par-dessus et son kimono. Il essaya son nouveau. Il ne pouvait plus tenir. S'il ne buvait pas maintenant, il partirait dans une frénésie destructrice. Il passa seulement la tête par le rideau.
"Excusez moi. Vous pouvez venir voir..." demanda t il au vendeur.
Celui-ci acquiessa et se dirigea vers la cabine. Une fois au niveau de Khan, le vendeur demanda ce qu'il se passait. Khan le saisit au col d'une main, avec une vitesse étonnante. Il le projetta dans la cabine si vite, qu'on aurait presque rien remarqué. On entendit un bruit sourd. Khan planta ses crocs dans le cou du vendeur, et il buvait. Encore et encore. Une fois sa soif repu, il se redressa, soulagé, mais le vendeur était mort. Khan s'essuya la bouche du revers de la manche. Il prit ses affaires, et sorta de la cabine, prenant soin de laisser le rideau fermé, pour qu'on ne voit pas le vendeur assassiné. Il restait quelques gouttes de sang sur le coin des lèvres de Khan.